Les rassemblements et les manifestations du 9 décembre, à l’appel du collectif « vive l’APL », ont fait entendre la voix des associations de locataires, des mal-logés, des salariés des offices HLM, des associations qui défendent le logement social, les syndicats… qui se battent contre la diminution et la suppression des APL, la liquidation du logement social. Cette question est à présent posée dans le débat politique général : c’est un acquis important.
Parmi les mots d’ordre repris :
« Macron, Le maire
c’est pas les APL, ni l’aide à la pierre
c’est les loyers qu’il faut baisser »
« Pour baisser les loyers
il faut les encadrer
et taxer
la spéculation »
« Macron, Mézard
il faut taper les riches, pas les locataires »
« Cinq euros c’est pas rien
c’est pour manger quand on a faim
c’est pour la rentrée ou pour se soigner »
Le 9 mars est une étape dans la mobilisation qui va se poursuivre.
A Paris, Jean Baptiste Eyraud (DAL), animateur du collectif est intervenu en premier. Les représentants des organisations présentes se sont succédé au micro.
Le cortège de la CNL, avec les banderoles de plusieurs organisations départementales de l’Ile de France (93, 94, 95, Paris) ainsi que des délégations du Nord, de l’Isère…
Le DAL a mobilisé familles et militants
Cortège de l’intersyndicale du logement social
Femmes égalité
Une vue du cortège au départ
Josiane Balasko est venue soutenir la mobilisation pour le logement social, les locataires des milieux populaires.
Les camarades dans la manifestation.