La répression des autorités du Burkina Faso contre le mouvement syndical de lutte et les organisations révolutionnaires se renforce. Après la tentative d’arrestation du secrétaire général de la CGT-B, fin janvier, les envois forcés de militants syndicaux et politiques dans les régions où sévissent les groupes armés, les attaques se poursuivent. Il est important de le dénoncer et d’exprimer notre solidarité.
Nous publions la déclaration du 8 mars des syndicats du ministère de l’économie et des finances.