Prises de position de syndicats, associations et initiatives à faire connaître et à organiser. Actualisation quotidienne (dernière actualisation, le 19 avril)

Évolution récente de la situation au Burkina Faso : la pandémie du COVID 19 élément d’aggravation de la crise du système néocolonial.
7 avril 2020
Nos priorités
10 avril 2020

Nous regroupons dans cette rubrique des prises de position de syndicats, d’associations, de personnes, des initiatives à faire connaître et à développer pour développer la solidarité populaire concrète. Cette rubrique sera alimentée au jour le jour. Certains de ces documents sont en téléchargement.

Pénicaud a mis à pied un inspecteur du du travail qui voulait faire respecter le droit du travail

Communiqué des UD du 93

Révolte au CRA de Mesnil-Amelot

Témoignage d’un militant syndical atteint par le covid-19

Les inspecteurs du travail montent au créneau

Des usines françaises installées en Tunisie mettent la santé des ouvriers en les faisant travailler

Les attaques contre la Chine ont commencé dès le début de l’épidémie. Elles ont pris quelques fois des accents racistes. Des propos réactionnaires du même type ont été tenus, quelques fois dans les grand médias, notamment des chaînes d’information en continu. C’est ce que dénonce la section France du Parti des Travailleurs de Tunisie.

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Banderole accrochée sur les grilles de l’hôpital de Tours

Tours : le collectif « notre santé en danger » solidaire des soignants

A Tours, le « Collectif 37 Notre santé en danger » auquel participe notre Parti, a aussi pris en mains la lutte pour obtenir des protections et des soins pour toutes et tous les soignants de l’hôpital jusqu’au domicile, sachant qu’ils sont en première ligne et qu’ils payent un lourd tribut dans le cadre de leur travail.

Cette campagne en soutien à la lutte des professionnels s’adresse aussi à la population pour qu’elle ne se contente pas simplement d’applaudir les soignants chaque soir à 20h mais aussi qu’elle exige qu’ils soient réellement protégés dans l’exercice de leur travail. Pour ce faire, le Collectif a lancé une campagne d’affichage de panneaux réclamant « des moyens maintenant » pour qu’ils soient apposés aux fenêtres des appartements.

Dans ce cadre, le Collectif s’est aussi adressé à l’intersyndicale du CHRU de Tours pour, avec elle, accrocher une banderole présentant ces exigences sur le portail de l’hôpital situé au centre ville.

La direction du CHU après avoir validé il y a quelques temps, la suppression d’une première tranche de 130 lits et les postes en lien, avait osé afficher « merci de vos mercis, les équipes du CHRU» et en appelait à la générosité du public !

Le 7 avril, journée mondiale de la santé, des militants de SUD de l’hôpital et ceux du Collectif sont passés à l’acte et ont fixé cette banderole sur la grille (voir la photo) manifestant ouvertement et publiquement le refus de l’union sacrée voulu par la direction de l’hôpital au nom de la lutte contre le COVID.

Les syndicats de personnels de santé dénoncent le manque de moyens, malgré le discours officiel

Les travailleurs du commerce, notamment celles et ceux qui travaillent dans la grande distribution, sont particulièrement exposés. L’exigence de protections individuelles reste lettre morte, dans un secteur dominés par des très grandes enseignes, qui réalisent des chiffres d’affaires mirobolants.

La Fédération CGT du commerce a lancé une grève, le 8 avril. Cette initiative qui a été un peu relayée par certains médias, est une riposte nationale, qu’il faut faire connaître. Nous publions le tract d’appel.

Lettre d’Annie Ernaux à Macron

Cergy, le 30 mars 2020

Monsieur le Président,

« Je vous fais une lettre/ Que vous lirez peut-être/ Si vous avez le temps ». À vous qui êtes féru de littérature, cette entrée en matière évoque sans doute quelque chose. C’est le début de la chanson de Boris Vian Le déserteur, écrite en 1954, entre la guerre d’Indochine et celle d’Algérie. Aujourd’hui, quoique vous le proclamiez, nous ne sommes pas en guerre, l’ennemi ici n’est pas humain, pas notre semblable, il n’a ni pensée ni volonté de nuire, ignore les frontières et les différences sociales, se reproduit à l’aveugle en sautant d’un individu à un autre. Les armes, puisque vous tenez à ce lexique guerrier, ce sont les lits d’hôpital, les respirateurs, les masques et les tests, c’est le nombre de médecins, de scientifiques, de soignants. Or, depuis que vous dirigez la France, vous êtes resté sourd aux cris d’alarme du monde de la santé et  ce qu’on pouvait lire sur la  banderole  d’une manif  en novembre dernier –L’état compte ses sous, on comptera les morts – résonne tragiquement aujourd’hui. Mais vous avez préféré écouter ceux qui prônent le désengagement de l’Etat, préconisant l’optimisation des ressources, la régulation des flux,  tout ce jargon technocratique dépourvu de  chair qui noie le poisson de la réalité. Mais regardez, ce sont les services publics qui, en ce moment, assurent majoritairement le fonctionnement du pays :  les hôpitaux, l’Education nationale et ses milliers de professeurs, d’instituteurs si mal payés, EDF, la Poste, le métro et la SNCF. Et ceux dont, naguère, vous avez dit qu’ils n’étaient rien, sont maintenant tout, eux qui continuent de vider les poubelles, de taper les produits aux caisses, de  livrer des pizzas, de garantir  cette vie aussi indispensable que l’intellectuelle,  la vie matérielle.  

Choix étrange que le mot « résilience », signifiant reconstruction après un traumatisme. Nous n’en sommes pas  là. Prenez garde, Monsieur le Président, aux effets de ce temps de confinement, de bouleversement du cours des choses. C’est un temps propice aux remises en cause. Un temps   pour désirer un nouveau monde. Pas le vôtre ! Pas celui où les décideurs et financiers reprennent  déjà  sans pudeur l’antienne du « travailler plus », jusqu’à 60 heures par semaine. Nous sommes nombreux à ne plus vouloir d’un monde  dont l’épidémie révèle les inégalités criantes, Nombreux à vouloir au contraire un monde  où les besoins essentiels, se nourrir sainement, se soigner, se loger, s’éduquer, se cultiver, soient garantis à tous, un monde dont les solidarités actuelles montrent, justement, la possibilité. Sachez, Monsieur le Président, que nous ne laisserons plus nous voler notre vie,  nous n’avons qu’elle, et  « rien ne vaut la vie » –  chanson, encore, d’Alain  Souchon. Ni bâillonner durablement nos libertés démocratiques, aujourd’hui restreintes, liberté qui  permet à ma lettre – contrairement à celle de Boris Vian, interdite de radio – d’être lue ce matin sur les ondes d’une radio nationale.

Annie Ernaux

Dans l’agro-alimentaire, les patrons profitent au maximum du « statut » de secteur prioritaire pour essayer de pousser le plus loin possible l’aggravation des conditions de travail, et remettre en cause les droits des travailleurs. Les syndicats mobilisent les travailleurs pour s’y opposer. Voici le tract de la CGT de LU.

Femmes Égalité appelle à se mobiliser le 7 avril, journée mondiale de la santé

7 AVRIL, JOURNÉE EUROPÉENNE CONTRE LA MARCHANDISATION DES SOINS  

A 20H SOLIDARITÉ AVEC LES SOIGNANT.E.S

A nos balcons et fenêtres avec banderoles et affiches pour les applaudir et exiger avec elles et eux des moyens pour l’Hôpital public !Prenez des photos à nous envoyer pour les mettre sur le site. Comité Clara Zetkin – Femmes Égalité Région parisienne

Communiqué sur la défense du système de santé publique

Un deuxième décès dans la grande distribution qui ne prend toujours pas les mesures de protection des personnels. Les chiffres d’affaires explosent, le nombre de contaminés aussi (27 mars)

La CGT a déposé un préavis de grève du 1er avril au 30 avril dans la fonction publique

Femmes Egalité : la vie des salariées du commerce n’a pas de prix

L’UL CGT de Saint Denis à propos du décès d’Aïcha, caissière de Carrefour, militante CGT

En Martinique, le profit avant la santé des ouvriers des bananeraies

Ce nouveau crime avec préméditation ne restera pas impuni ! Communiqué du CNCP

Quand les criminels contraignaient les ouvriers et les ouvrières agricoles, parfois avec leurs enfants, à semer des poisons dans les bananeraies, les mêmes prétextes étaient utilisés : il fallait « sauver l’économie et les emplois » ! Le résultat est là : une population et un pays massacrés par la pollution et les maladies. Les intérêts de la caste avaient été, une fois de plus, défendus.

Aujourd’hui, les ouvriers agricoles vont de nouveau servir de chair à canon dans leur guerre pour le profit : l’Etat français les « autorise » à aller assurer les profits de la caste sur les habitations ! Au détriment de leur vie et de la santé de toute la population ! Tellement strictes sur le confinement de la population, dénonçant avec dédain les irresponsables qui ne le respectent pas, les autorités coloniales considèrent qu’il est essentiel que ces travailleurs aillent produire le dessert destiné à atterrir sur les tables de la « métropole » coloniale ! L’alibi démagogique des criminels est qu’il a été demandé aux maitres de la plantation d’assurer la sécurité. Quel contrôle est prévu ? Qu’en est-il des précautions sur le parcours ? Incontestablement, une porte est ouverte à la propagation du COVID 19.

Il est prétexté que des syndicats auraient donné leur accord. Lesquels ? Il faut qu’on le dise clairement afin que le moment venu, ils soient jugés au même titre que ceux qui avaient relayé les attentes de la caste en demandant les dérogations pour le chlordécone. Les criminels jouent sur les difficultés économiques des travailleurs et font miroiter primes et salaire pour attirer les sacrifiés. Ceux qui avaient accepté de semer les poisons pour pouvoir se nourrir, meurent aujourd’hui de cancer et regrettent leur erreur.

Ceux-là même qui trouvent des milliards pour indemniser les capitalistes considèrent que les travailleurs agricoles ne valent pas la peine d’être protégés et de recevoir les indemnités financières pour compenser leurs salaires perdus.

Nous appelons nos compatriotes à faire prévaloir le principe de précaution, à rester chez eux garantir la survie de leur famille et de leur peuple. Le moment viendra où ce peuple Martiniquais demandera des comptes aux empoisonneurs, aux scélérats qui profitent de la crise pour augmenter abusivement les prix, à l’Etat colonial et à ses complices.

29 /03/2020

Pour le CNCP : Le Président, Jean ABAUL

Déclaration du collectif « Ni guerre, ni Etat de guerre ». Le 27 mars

Notre parti est membre de ce collectif

Non à l’Opération Résilience ! Oui à l’Opération Résistance !

Déclaration du Collectif Ni guerres ni état de guerre

Une fois de plus, le 26 mars, Macron a revêtu son costume préféré, celui de la chose militaire, pour lancer l’Opération Résilience et mobiliser l’ensemble des forces armées « pour aider les populations ». Comme toujours avec Macron, la vérité de la phrase apparaît immédiatement dans les actes.

L’Opération Résilience, dont on ne sait rien d’autre qu’une mobilisation des forces armées pour des opérations de police, commence par une action précise : l’envoi de deux porte-hélicoptères dans les « territoires français », aux Antilles et à La Réunion. Et la précision va jusqu’à dire que ces engins de guerre (et l’hôpital militaire qu’ils contiennent) ne seront pas utilisés pour des opérations sanitaires ! Quelle sera donc l’utilité de ce corps expéditionnaire envoyé dans les DOM, où la situation est explosive tant la colère est immense ?

Les populations n’ont pas besoin de la « résilience », du rebond proposé par Macron et son armée : le rebond est déjà là, sans l’aide de l’État et souvent contre lui, avec le personnel soignant et des EHPAD, avec les salariés qui aident à vivre, les caissières, les boulangers et leur équipe, les salariés de l‘énergie, du transport, du service des eaux, les éboueurs, les livreurs, les enseignants, les associations qui continuent leur service auprès des migrants, des démunis, des sans-abris, et tant d’autres, qui doivent arracher par la lutte de maigres protections. Toutes ces forces de travail n’attendent plus rien de l’État, qui ne sait que leur infliger la privation de leurs droits collectifs et l’infamie des déclarations quotidiennes de ses dirigeants.

Et le rebond sera là, le jour d’après, pas celui que préparent Macron et son armée, car c’est de cela qu’il s’agit.

Pour eux : faire repartir sans tarder une économie en lambeaux, la machine à produire du fric, à tout prix, au prix de la vie même, aller le fusil dans le dos travailler 60 heures par semaine sans protester au nom de « l’union nationale » et de la « reconstruction ».

Pour nous : plus jamais ça ! Plus jamais les œuvres de mort en Afrique, au Moyen-Orient, aux frontières méditerranéennes. Plus jamais des services publics ruinés, plus jamais un système voué uniquement à l’accumulation de profit, où l’oppression de genre et de race vient s’ajouter à l’exploitation de tous.

Pour eux : sauve qui peut pour échapper au jugement du peuple, aux comptes qu’ils devront rendre y compris devant la justice, parce rien n’a été préparé ni entrepris pour protéger la population.

Pour nous : prendre notre destin en main, comme nous le faisons dès maintenant, et imposer les mesures les plus radicales pour bâtir enfin un monde débarrassé de la guerre, de l’oppression et de l’exploitation, et aussi de l’infamie.

Voilà donc quelle belle « civilisation » les bombes françaises allaient exporter en Afrique et au Moyen Orient, et partout où « le drapeau français doit flotter » (François Hollande) : un système qui n’a rien à faire de leurs vies, là-bas, et qui aujourd’hui démontre qu’il n’a rien à faire de nos vies, ici, sur le territoire même de l’État impérialiste français, ici où il nous faut à tout prix élever le niveau de la lutte anti-impérialiste et anti-capitaliste.

Le Collectif Ni guerres ni état de guerre s’oppose fermement au plan Résilience et aux ordonnances scélérates de l’état d’urgence sanitaire. Depuis sa création, notre Collectif a dénoncé et combattu, avec d’autres, les lois et mesures liberticides imposées au nom de « la guerre contre le terrorisme ». Aux dispositions de l’état d’urgence passées dans la loi s’ajoute aujourd’hui la limitation des droits des travailleurs.

Le Collectif Ni guerres ni état de guerre s’associe à toutes les actions dénonçant ces attaques et à toutes les initiatives qui préparent le jour d’après, dans l’unité la plus large, et dans la fermeté des principes qui nous animent.

Le 27 mars 2020

Les syndicats CGT et Unsa de l’aéronautique demandent l’arrêt des productions non utiles et disent : « tous les masques doivent être donnés en urgence au personnel soignant« !

RATP : tact de la CGT du personnel de maintenance du Métro, RATP, tram

Déclaration des Unions régionales IdF après l’adoption de l’Etat d’urgence sanitaire

Dans les transports

Un raffut général, le 28 mars, en solidarité avec les mal-logés

Le samedi 28 mars prochain des manifestation de rue devaient avoir lieu partout en Europe à l’appel de la coalition européenne d’actions pour le droit au logement et à la ville, contre le logement cher et la spéculation, contre les expulsions et pour le logement pour tou.te.s. 

Malheureusement, l’épidémie de Coronavirus vient toucher l’ensemble de la population en même temps qu’elle renforce durement la crise du logement. Les sans-logis, les mal-logés, les locataires et habitants modestes sont les plus exposés à l’épidémie et à ses conséquences sociales et économiques.

Face à cela, nous devons répondre par toujours plus de solidarité et maintenir une mobilisation avec les moyens dont nous disposons:

1/ Une pétition a été lancée ce jour, avec des personnalités, des militantEs, des mal-logéEs pour demander la réquisition des logements, bureaux, hôtels, AirBnB vides,  un moratoire sur les loyers et factures (énergie, eau, internet, téléphone), le rétablissement renforcée des APL, l’arrêt de toutes les expulsions et du harcèlement des sans abris.

Pour la signer c’est par là => http://chng.it/PtHXpZWDnP A diffuser largement dans vos réseaux!

2/ Un raffut se prépare : samedi 28 mars à 18h, chacun à la fenêtre de chez soi, du bruit et des banderoles pour affirmer notre solidarité avec les sans logis, mal logés, locataires en galère et défendre les mots d’ordre cités. N’hésitez pas à participer et à partager l’évènement Facebook=> https://www.facebook.com/events/2352655024839280/

3/Un courrier unitaire a été envoyé pour interpeller le Ministre du logement Denormandie, à l’initiative des organisations impliquées dans la mobilisation du 28 mars.

D’autres initiatives voient le jour: des habitants, des voisins s’organisent au sein de leur immeuble, quartier, pour aider les plus vulnérables. Autant d’actions à reproduire, soutenir et partager largement!

Un Toit c’est un Droit!

Les enseignants s’organisent et organisent le soutien aux élèves.

Voici des extraits du témoignage d’un camarade qui enseigne en collège.

« Si nous faisons les cours, si nous sommes prêts à aider les enfants, à continuer à les faire travailler, c’est certainement pas pour Macron ou Blanquer mais parce que ce sont les filles et fils du peuple qui sont victimes de cette épidémie, c’est pour aider les élèves à poursuivre leurs apprentissages. Nous ferons le maximum pour faire en sorte que tout se passe pour le mieux. »

Concernant les autres catégories de personnel, il ajout : « Attention aussi aux collègues AVS et AED (1). Il faudra faire attention à ce qui leur est demandé, et les protéger. 

Mais les revendications demeurent, et cette épidémie le révèle, plus de moyens pour les hôpitaux, plus de lits plus de personnels soignants mieux payés, plus d’investissements publics dans la recherche fondamentale sortie des entreprises privées qui recherchent le profit. D’ailleurs beaucoup de soignants sur Facebook le posent en disant vous pouvez compter sur nous Mr Macron mais l’inverse n’est pas vrai. 

Nous appelons à ce que la réforme des retraites actuelle soit gelée le temps de l’épidémie. La chute des valeurs boursières face à la crise actuelle montre bien les dangers de la capitalisation des retraites. 

Notes

Les AVS (auxiliaires de vie scolaire), ont été remplacés par les accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH).

Les AED (assistants d’éducation)

L’organisation de femmes Egalité a notamment lancé des initiatives de solidarité dans les quartiers. Suivez son actualité sur son site : www.femmes-egalite.org

Voici le message qu’Egalité a adressé aux personnels soignants

L’Union des jeunes révolutionnaires a pris position

Les personnels de Pôle Emploi et leurs syndicats n’ont pas accepté les injonctions de la direction générale qui annonçait l’ouverture des agences et la présence des agents, alors qu’aucune mesure de protection n’était prévue, ni pour les demandeurs d’emploi, ni pour les agents.

Parmi les catégories de salariés exposés aux risques sanitaires sans protections, il y a les intérimaires. Voici la prise de position de la CGT Interim

La CGT des Chantiers de ST Nazaire

Communiqué des Union régionales d’Ile de France qui avaient notamment appelé aux mobilisations contre la réforme des retraites

Il y a les initiatives des applaudissements collectifs, des chants des habitants des cités populaires, le soir, qui se sont inspirés de ce que les habitants d’Italie, d’Espagne ont initié. Il y a aussi des initiatives prises par des habitants de villages, pour venir en aide aux « anciens ». Ainsi, nos camarades de la région de Pau ont distribué dans les boites aux lettres cette petite affichette. Une initiative que nous appelons à multiplier.

Tours : position du collectif « notre santé en danger » 37